ChatGPT est un chatbot conçu par la société américaine OpenAI, spécialisée dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Sa principale fonction : générer du texte pour répondre aux requêtes des internautes. Cet outil innovant a changé la donne dans de nombreux domaines, y compris la cybersécurité ! Avec ChatGPT, les risques d’une utilisation malveillante sont en effet nombreux.

Pour vous mettre en garde on vous résume les risques en 3 points :
Risque numéro 1 : le phishing !
Selon une enquête menée par BlackBerry auprès de 1 500 DSI en Amérique du Nord, au Royaume-Uni et en Australie, les trois quarts des personnes interrogées s’accordent à dire que ChatGPT est une menace en termes de cybersécurité.
Un sondé sur deux précise que la capacité de l’intelligence artificielle de rédiger des e-mails de phishing est un véritable danger car elle simplifie considérablement la tâche des hackers. Fini les fautes d’orthographes et les mauvaises formulations, cet outil est capable de rédiger des textes courts et clairs sur n’importe quel sujet, et de la manière la plus crédible qui soit.
Risque numéro 2 : les ransomware !
Toujours selon cette même enquête, un DSI sur deux explique que ChatGPT pourrait s’avérer être un allié de taille pour des pirates moins expérimentés en améliorant leurs connaissances techniques et leur permettant de développer des compétences plus spécifiques.
Cela pourrait alors entraîner une multiplication des attaques par ransomware. Suleyman Ozarslan, chercheur en sécurité et cofondateur de Picus Security, précise à ce sujet : « Je n’ai aucun doute sur le fait que ChatGPT et d’autres outils de ce type vont démocratiser la cybercriminalité ».
Puis il poursuit : « C’est déjà assez grave que le code des ransomware soit disponible à l’achat en libre-service sur le dark web ; maintenant, n’importe qui peut le créer lui-même. »
Risque numéro 3 : négliger la menace ! Les spécialistes en informatique ne comptent pas rester sans rien faire face à cette menace. Plus de 80% des personnes interrogées lors de l’enquête menée par BlackBerry prévoient d’investir dans une solution de cybersécurité basée sur l’IA dans les deux prochaines années, et la moitié avant fin 2023.
95 % des experts appellent également les gouvernements à réguler plus fermement ces nouvelles technologies pour prévenir les abus. A ce propos, les chercheurs universitaires de Stanford et Georgetown et la société OpenAI ont récemment publié un rapport dans lequel ils alertent sur le danger des technologies de modèles de langage de type ChatGPT.

Risque numéro 1 : le phishing !

Selon une enquête menée par BlackBerry auprès de 1 500 DSI en Amérique du Nord, au Royaume-Uni et en Australie, les trois quarts des personnes interrogées s’accordent à dire que ChatGPT est une menace en termes de cybersécurité.
Un sondé sur deux précise que la capacité de l’intelligence artificielle de rédiger des e-mails de phishing est un véritable danger car elle simplifie considérablement la tâche des hackers. Fini les fautes d’orthographes et les mauvaises formulations, cet outil est capable de rédiger des textes courts et clairs sur n’importe quel sujet, et de la manière la plus crédible qui soit.
Risque numéro 2 : les ransomware ! Toujours selon cette même enquête, un DSI sur deux explique que ChatGPT pourrait s’avérer être un allié de taille pour des pirates moins expérimentés en améliorant leurs connaissances techniques et leur permettant de développer des compétences plus spécifiques. Cela pourrait alors entraîner une multiplication des attaques par ransomware. Suleyman Ozarslan, chercheur en sécurité et cofondateur de Picus Security, précise à ce sujet : « Je n’ai aucun doute sur le fait que ChatGPT et d’autres outils de ce type vont démocratiser la cybercriminalité ».
Puis il poursuit : « C’est déjà assez grave que le code des ransomware soit disponible à l’achat en libre-service sur le dark web ; maintenant, n’importe qui peut le créer lui-même. »
Risque numéro 3 : négliger la menace ! Les spécialistes en informatique ne comptent pas rester sans rien faire face à cette menace. Plus de 80% des personnes interrogées lors de l’enquête menée par BlackBerry prévoient d’investir dans une solution de cybersécurité basée sur l’IA dans les deux prochaines années, et la moitié avant fin 2023.
95 % des experts appellent également les gouvernements à réguler plus fermement ces nouvelles technologies pour prévenir les abus. A ce propos, les chercheurs universitaires de Stanford et Georgetown et la société OpenAI ont récemment publié un rapport dans lequel ils alertent sur le danger des technologies de modèles de langage de type ChatGPT.

Risque numéro 2 : les ransomware !

Toujours selon cette même enquête, un DSI sur deux explique que ChatGPT pourrait s’avérer être un allié de taille pour des pirates moins expérimentés en améliorant leurs connaissances techniques et leur permettant de développer des compétences plus spécifiques.
Cela pourrait alors entraîner une multiplication des attaques par ransomware. Suleyman Ozarslan, chercheur en sécurité et cofondateur de Picus Security, précise à ce sujet : « Je n’ai aucun doute sur le fait que ChatGPT et d’autres outils de ce type vont démocratiser la cybercriminalité ».
Puis il poursuit : « C’est déjà assez grave que le code des ransomware soit disponible à l’achat en libre-service sur le dark web ; maintenant, n’importe qui peut le créer lui-même. »

Risque numéro 3 : négliger la menace !

Les spécialistes en informatique ne comptent pas rester sans rien faire face à cette menace. Plus de 80% des personnes interrogées lors de l’enquête menée par BlackBerry prévoient d’investir dans une solution de cybersécurité basée sur l’IA dans les deux prochaines années, et la moitié avant fin 2023.
95 % des experts appellent également les gouvernements à réguler plus fermement ces nouvelles technologies pour prévenir les abus. A ce propos, les chercheurs universitaires de Stanford et Georgetown et la société OpenAI ont récemment publié un rapport dans lequel ils alertent sur le danger des technologies de modèles de langage de type ChatGPT.